Water-to-Go : bouteille filtrante avec nano-technologie développée pour la NASA
|Lancée à la fin 2012, la bouteille filtrante Water-to-Go a depuis été utilisée dans le monde entier, en particulier sur les continents africains et australiens. Développé à l’origine pour la Nasa, son système de filtration à la pointe de la technologie est désormais disponible en France.
Pratique, cette bouteille filtrante portable peut être utilisée quasiment partout : en voyage, en camping, lors d’une randonnée, d’un trekking, d’un entrainement sportif, ou au bureau.
Ce qui rend la la bouteille Water-to-Go remarquable c’est sa rapidité et sa simplicité d’utilisation. En effet, son système de filtration faisant appel à trois technologies différentes, il est capable de fonctionner en temps réel. Une fois celui-ci activé, il est possible de boire directement à la bouteille qui propose alors un débit d’environ 10 millilitres par seconde.
Pour en savoir plus sur les bouteilles et gourdes Water-to-Go, cliquer ici : WaterToGo.fr.
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Pour info, voici résumées brièvement les 3 technologies utilisées par la bouteille Water-to-Go :
- Filtration mécanique par micro-pores de très petit diamètre.
- Filtration électrique qui attire et retient les contaminants, bactéries et virus à l’intérieur du filtre.
- Filtres de carbone intégré à la membrane filtrante qui permet d’éliminer les goûts et mauvaises odeurs désagréables.
Enfin, voici la liste non exhaustive annoncée par le constructeur, en ce qui concerne les contaminants détectés par le système Water-to-Go :
- Produits chimiques et métaux tels que le fluorure, le chlore, le chrome, le nickel, le mercure, le cuivre le plomb, le fer, l’aluminium, ainsi que les composés organiques volatils comme le formaldéhyde.
- Virus tels que celui de l’hépatite A, le Norwalk, le virus Tota, ainsi que les adénovirus, les réovirus et les entérovirus.
- Bactéries comme celle du choléra, du botulisme, de la dysenterie, les Coliformes, le E. coli, le typhus, le vibrion, la polio, la leptospirose, la campylobactériose, la Legionella ou la maladie de Weil.
- Oocystes et protozoaires tels que le Giardia lamblia
- Autres parasites et agents pathogènes parmi les plus communs dans l’eau, tels que le ténia, le fasciolopsiase, l’échinococcose, le coenurose, l’ascaridiose, le schistosomiase, le trypanosomiase (responsable de la maladie du sommeil), le cryptosporidiose, le nématode, l’ascaris, l’ankylostome, le ver de Guinée, la douve du foie (Fasciola hepatica), l’onchocerque ou l’oxyure.
Note : toutes les données scientifiques correspondent à celle trouvées sur le site de Water-to-Go et n’engagent en rien la responsabilité de TuttiFruttiNews qui ne fait que les reproduire ici.
J’en ai commandé une et c’est bien mieux que les système Brita dont la technologie ne filtre pas par exemple le fluorure. Par contre, je n’ai trouvé que des bouteilles de 500 ml
Jusqu’ici je distillais mon eau, c’est long et ça revient cher. Je me suis procuré une Water-to-Go et c’est exactement ce que je cherchais pour mon travail de décalcification de la glande pinéale, dont on sait que le fluor présent dans l’eau (mais aussi dans les pâtes dentifrice) s’y accumule pour inhiber son fonctionnement