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Reech : influence marketing

Reech : pour les influenceurs marketing du WebAlors que de nombreux blogueurs outre-atlantique connaissent déjà les joies de l’influence marketing, voici que celle-ci débarque dans l’hexagone pour la plus grande joie des éditeurs et des marques. En gros, pour ceux qui ne connaissent pas encore, le métier d’influenceur consiste à parler d’un produit, d’un service ou d’une marque sur les réseaux sociaux ou sur son blog. En contrepartie de cette exposition les marques rémunèrent lesdits influenceurs.

Si en Amérique, ce métier n’était possible que pour les gens célèbres, en Europe il semble que le fait de jouir d’une notoriété sur le Web soit suffisant. Pour essayer de décrocher des contrats avec les marques et monétiser son influence, il suffit d’inscrire son-ses blog(s) et ses réseaux sociaux sur Reech. C’est gratuit et assez rapide, surtout si on accepte de lier son compte d’influencer avec les statistiques de la console Google pour webmasters.

Pour en savoir plus sur Reech : www.reech.com.

De leur côté, les marques trouveront en Reech une plateforme avec plus de 6000 influenceurs sur tous les réseaux sociaux, dans toutes les thématiques et tous les pays : blogs, Facebook, Youtube, Instagram, Twitter, Pinterest, Snapchat et bien d’autres. On se trouve donc dans une situation gagnant / gagnant qui vient compléter des systèmes de marketing Web traditionnels tels que l’affiliation.

Les marques pourront ainsi proposer aux profils qui les intéressent des partenariats tels que la rédaction d’un article sponsorisé ou la création d’un contenu spécifique, le placement ou le test d’un produit, une participation à un évènement clef, la création d’une vidéo de hauling (montrant un coup de cœur shopping) ou d’un unboxing (déballage d’un nouveau produit), et bien d’autres choses limitées seulement par la créativité conjointe des marques et des influenceurs, et les tendances du moment.

Tout cela est fort bien, autant pour les marketeurs en ligne que pour les marques. Le seul bémol est que le consommateur va avoir de plus en plus de mal à différencier les avis spontanés et objectifs des blogueurs et des animateurs de réseaux, d’une publicité forcément subjective par définition.